Au cours des dernières heures, l’Espagne, le Portugal et le sud de la France ont été frappés par une panne de courant soudaine et généralisée, provoquant un choc et une mobilisation dans les capitales européennes concernées. Cet incident, qualifié par certains observateurs d’« inédit depuis des années », soulève de nombreuses interrogations sur son origine, notamment en raison d’indices initiaux suggérant une implication extérieure à l’Union européenne.
Selon plusieurs médias espagnols, le Centre national de renseignement (CNI) à Madrid a ouvert une enquête approfondie, envisageant la possibilité d’une « implication potentielle d’un pays nord-africain » dans cette perturbation qui a paralysé des centrales électriques majeures et provoqué un effondrement temporaire des réseaux de distribution.
Des sources au sein du Centre national de cybersécurité espagnol ont laissé entendre que l’Algérie fait partie des pays actuellement examinés, dans un contexte de tensions diplomatiques croissantes entre Alger et Madrid, liées à des dossiers politiques et économiques sensibles, notamment celui du gaz naturel et du Sahara occidental.
Parallèlement, l’Institut européen d’astrophysique a publié un rapport technique indiquant la détection d’une activité électromagnétique inhabituelle en provenance d’Afrique du Nord, coïncidant avec l’heure de la panne
. Toutefois, le rapport exclut totalement le Maroc de toute suspicion, affirmant que les données géomagnétiques ne révèlent aucune anomalie sur le territoire marocain.
Plusieurs hypothèses sont à l’étude : certaines évoquent une cyberattaque visant les infrastructures énergétiques critiques en Europe, tandis que d’autres parlent de défaillances techniques complexes, voire d’expérimentations électroniques non déclarées.
Cet incident survient dans un contexte régional et international tendu, marqué par une course croissante à l’influence dans les domaines de l’énergie, de la technologie et des communications stratégiques. Il met également en lumière la vulnérabilité de certaines infrastructures européennes face aux menaces cybernétiques, qu’elles soient accidentelles ou délibérées.